Communiqués de journalistes à l'appui, nous découvons la saga de l'été
Le Syndicat national des journalistes CGT s'étonne de la "violence" de la réaction d'un "président aux nerfs fragiles", après l'altercation entre Nicolas Sarkozy et deux photographes de presse américains.
Le président de la république française, pisté comme une rock star américaine vient de s'ennerver sérieusement. Nos amis québecois de Cyberpresse nous narrent l'aventure.
Le Syndicat national des journalistes CGT s'étonne de la "violence" de la réaction d'un "président aux nerfs fragiles", après l'altercation entre Nicolas Sarkozy et deux photographes de presse américains.
Le président de la république française, pisté comme une rock star américaine vient de s'ennerver sérieusement. Nos amis québecois de Cyberpresse nous narrent l'aventure.
La veille au matin, le président français avait tenté de désamorcer la polémique lors d'un point de presse organisé dans un parc avec vue sur le lac Winnipesaukee.
«Je suis venu en avion de ligne chez des amis qui me reçoivent. J'ai le droit d'avoir des amis», avait-il expliqué, tout en réclamant la «tranquillité» pour la suite de ses vacances.
Dimanche, son voeu n'a pas été exaucé. En après-midi, il a eu une confrontation sur le lac avec deux photographes américains, l'un travaillant pour l'Associated Press et l'autre pour Sipa. À bord d'un hors-bord, ceux-ci ont pris des photos du président, de sa femme Cécilia et de la ministre française de la Justice, Rachida Dati, qui se trouvaient sur un autre bateau.
Quand le président Sarkozy a vu les photographes, il s'est mis à les montrer du doigt et, selon le compte rendu de l'AP, son bateau a commencé à voguer vers eux. Quelques instants plus tard, vêtu d'un simple maillot de bain, il a sauté à bord du bateau des journalistes et a commencé à les "engueuler" en français.
Il s'est calmé après que les photographes lui eurent promis de ne plus prendre de photos. Il est retourné sur son bateau et a poursuivi sa course sur le lac, suivi par un hors-bord transportant des agents des services secrets américains.
L'ami français Frédéric Otto, membre du conseil d'administration de la banque privée de Rothschild Europe, est peut-être l'ami français ayant invité le président Sarkozy à Wolfeboro. Il fait partie des millionnaires et milliardaires ayant des résidences de luxe autour du lac. C'est notamment le cas de l'ancien gouverneur du Massachusetts et candidat à l'investiture républicaine Mitt Romney et de J. W. Marriott, président de la chaîne d'hôtels du même nom.
Les Sarkozy devraient rester au New Hampshire jusqu'à la mi-août. D'ici là, le président français pourrait se rendre à Kennebunkport , au Maine, pour aller rencontrer son homologue américain, qui passera quelques jours à la maison familiale des Bush. "La Maison-Blanche et l'Élysée l'annonceront en temps voulu», a dit le président lors de son point de presse (...)
«Je suis venu en avion de ligne chez des amis qui me reçoivent. J'ai le droit d'avoir des amis», avait-il expliqué, tout en réclamant la «tranquillité» pour la suite de ses vacances.
Dimanche, son voeu n'a pas été exaucé. En après-midi, il a eu une confrontation sur le lac avec deux photographes américains, l'un travaillant pour l'Associated Press et l'autre pour Sipa. À bord d'un hors-bord, ceux-ci ont pris des photos du président, de sa femme Cécilia et de la ministre française de la Justice, Rachida Dati, qui se trouvaient sur un autre bateau.
Quand le président Sarkozy a vu les photographes, il s'est mis à les montrer du doigt et, selon le compte rendu de l'AP, son bateau a commencé à voguer vers eux. Quelques instants plus tard, vêtu d'un simple maillot de bain, il a sauté à bord du bateau des journalistes et a commencé à les "engueuler" en français.
Il s'est calmé après que les photographes lui eurent promis de ne plus prendre de photos. Il est retourné sur son bateau et a poursuivi sa course sur le lac, suivi par un hors-bord transportant des agents des services secrets américains.
L'ami français Frédéric Otto, membre du conseil d'administration de la banque privée de Rothschild Europe, est peut-être l'ami français ayant invité le président Sarkozy à Wolfeboro. Il fait partie des millionnaires et milliardaires ayant des résidences de luxe autour du lac. C'est notamment le cas de l'ancien gouverneur du Massachusetts et candidat à l'investiture républicaine Mitt Romney et de J. W. Marriott, président de la chaîne d'hôtels du même nom.
Les Sarkozy devraient rester au New Hampshire jusqu'à la mi-août. D'ici là, le président français pourrait se rendre à Kennebunkport , au Maine, pour aller rencontrer son homologue américain, qui passera quelques jours à la maison familiale des Bush. "La Maison-Blanche et l'Élysée l'annonceront en temps voulu», a dit le président lors de son point de presse (...)
Source
Cyberpresse Canada
Crédit photo
City of Kennebunkport
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