Même "l'ami" Figaro n'arrive plus à cacher les résultats désastreux de la popularité du Président. D'aucuns diront qu'être populaire n'est pas forcément le signe des grands hommes d'état. Néanmoins, Xavier Bertrand qui ne cesse d'évoquer le mot populaire en évoquant le parti présidentiel doit s'interroger sur la capacité future de son mouvement à recruter 500 000 militants UMP au vu des réactions des français.
Selon la première enquête, menée par Sofres-Logica après les grèves du 29 janvier, seul un Français sur trois (34%) trouve que Nicolas Sarkozy «agit en profondeur pour changer la société française», quand plus d'un sur deux (58%) trouve qu'il «parle beaucoup mais ne fait pas grand-chose». Seuls 12% des sondés jugent que le chef de l'Etat a «beaucoup réformé», alors que 43% pensent qu'il a «un peu réformé» la France. Pire, 57% considèrent que «les réformes engagées vont plutôt dans la mauvaise direction».
Pouvoir d'achat : seuls 17% des Français sont satisfaits
En revanche, peu nombreux sont les interrogés à considérer que Nicolas Sarkozy tient ses engagements en termes d'augmentation du pouvoir d'achat des Français (17%), de baisse d'impôts (17%), du renforcement des pouvoirs du Parlement et notamment de l'opposition (22%), de renforcement du dialogue social (29%) et de moralisation du capitalisme (29%).
Sur le thème de l'éducation, 36% des Français trouvent que le président mène une action efficace, alors que 53% des sondés jugent qu'il ne lutte pas assez contre l'échec scolaire.
Dans le dernier baromètre Ipsos, qui paraît ce jeudi dans Le Point , le président chute de 9 points en février, à 36 % de perceptions positives, son plus bas score depuis son arrivée à l'Élysée. Dans le détail, 6 % des personnes interrogées ont un jugement "très favorable" de l'action du chef de l'État, et 30 % "plutôt favorable" (- 9). 35 % des sondés ont une opinion "plutôt défavorable" et 26 % "très défavorable".
Au total, le locataire de l'Élysée concentre 61 % d'avis défavorables.
En revanche, peu nombreux sont les interrogés à considérer que Nicolas Sarkozy tient ses engagements en termes d'augmentation du pouvoir d'achat des Français (17%), de baisse d'impôts (17%), du renforcement des pouvoirs du Parlement et notamment de l'opposition (22%), de renforcement du dialogue social (29%) et de moralisation du capitalisme (29%).
Sur le thème de l'éducation, 36% des Français trouvent que le président mène une action efficace, alors que 53% des sondés jugent qu'il ne lutte pas assez contre l'échec scolaire.
Dans le dernier baromètre Ipsos, qui paraît ce jeudi dans Le Point , le président chute de 9 points en février, à 36 % de perceptions positives, son plus bas score depuis son arrivée à l'Élysée. Dans le détail, 6 % des personnes interrogées ont un jugement "très favorable" de l'action du chef de l'État, et 30 % "plutôt favorable" (- 9). 35 % des sondés ont une opinion "plutôt défavorable" et 26 % "très défavorable".
Au total, le locataire de l'Élysée concentre 61 % d'avis défavorables.
Allez, encore quelques propos "avantageux" sur les réformes et les 70% ne seront pas loin !!!!
Prochain test de popularité et de confiance : Les élections européennes.
L'UMP qui semble t-il a trouvé son nouveau nom : "«Mouvement populaire» et a remplacé l'acronyme UMP sur les cartes de visite du parti et sur les affiches, (les trois lettres ne figurent plus qu'en discret rappel)" mise sur sa capacité à gagner ces élections grâce ... au Net (et notamment de Facebook).
Comme d'habitude, on a mobilisé les bataillons de communicants : Le fondateur de RSCG Jean-Michel Goudard, le publicitaire Christophe Lambert, l'ancien directeur d'Ipsos Pierre Giacometti et le patron de la chaîne Histoire Patrick Buisson planchent donc aux côtés de Nathalie Kosciusko-Morizet pour nous expliquer pourquoi et comment un mouvement politique majoritaire qui a montré ses limites et son incompétence dans tous les domaines devrait obtenir la majorité aux prochaines élections.
Nous ne sommes pas vraiment persuadés qu'un nouveau nom et un nouveau logo suffise à calmer des français de métropole et d'outre mer qui ne voient rien arriver si ce n'est une crise énorme qui va en laisser beaucoup au bord du chemin.
On serait bien avisé du côté de Solférino de trouver un accord très rapide entre tendances. Les français, eux, n'attendront pas ...
Prochain test de popularité et de confiance : Les élections européennes.
L'UMP qui semble t-il a trouvé son nouveau nom : "«Mouvement populaire» et a remplacé l'acronyme UMP sur les cartes de visite du parti et sur les affiches, (les trois lettres ne figurent plus qu'en discret rappel)" mise sur sa capacité à gagner ces élections grâce ... au Net (et notamment de Facebook).
Comme d'habitude, on a mobilisé les bataillons de communicants : Le fondateur de RSCG Jean-Michel Goudard, le publicitaire Christophe Lambert, l'ancien directeur d'Ipsos Pierre Giacometti et le patron de la chaîne Histoire Patrick Buisson planchent donc aux côtés de Nathalie Kosciusko-Morizet pour nous expliquer pourquoi et comment un mouvement politique majoritaire qui a montré ses limites et son incompétence dans tous les domaines devrait obtenir la majorité aux prochaines élections.
Nous ne sommes pas vraiment persuadés qu'un nouveau nom et un nouveau logo suffise à calmer des français de métropole et d'outre mer qui ne voient rien arriver si ce n'est une crise énorme qui va en laisser beaucoup au bord du chemin.
On serait bien avisé du côté de Solférino de trouver un accord très rapide entre tendances. Les français, eux, n'attendront pas ...
Sources et crédits
Le Figaro
Le Point
Crédit montage
Sarkoshow