On a toujours dit que la presse écrite et le Web ne faisait pas bon ménage.
Certains ont même entretenu l'idée que les journalistes professionnels "daubaient" sur les blogs "textuels" le refusant le droit de porter le nom de journalistes citoyens. Il en fut même pour proposer le terme de "chroniqueurs citoyens". Afin de ne pas se faire dépasser, plsuieurs journaux ou magazines ou carrément ouvert des plates-formes de blogs portant leurs couleurs afin de "récupérer" l'écriture citoyenne à leur profit (Libération, Le Monde, 20Minutes ...)
En ce qui me concerne, j'ai été de toutes les expériences d'écriture citoyenne et collective comme AGORAVOX ou Bellaciao sans jamais pour autant avoir le moindre contact avec la presse écrite.
En 2007, la télévision sous la forme de LCP Assemblée Nationale me contactait au travers de Slovar les Nouvelles pour participer à une nouvelle émission introduisant des citoyens pouvant interpeller les élus de la nation. 23 émissions plus tard, c'est toujours un plaisir d'entendre le journaliste animateur de l'émission me présenter comme blogueur et de citer "Slovar les Nouvelles"
Alors, ce matin lorsque j'ai reçu un mail du journal Vendredi (dont j'entendais la publicité à la radio depuis quelques jours) me disant qu'un de mes articles avait été retenu pour le numéro 1, j'avoue que je l'ai relu trois fois. Et , bien entendu, je suis allé l'acheter. Hé, les mecs, je suis dedans sans rien avoir demandé !!!
Certains ont même entretenu l'idée que les journalistes professionnels "daubaient" sur les blogs "textuels" le refusant le droit de porter le nom de journalistes citoyens. Il en fut même pour proposer le terme de "chroniqueurs citoyens". Afin de ne pas se faire dépasser, plsuieurs journaux ou magazines ou carrément ouvert des plates-formes de blogs portant leurs couleurs afin de "récupérer" l'écriture citoyenne à leur profit (Libération, Le Monde, 20Minutes ...)
En ce qui me concerne, j'ai été de toutes les expériences d'écriture citoyenne et collective comme AGORAVOX ou Bellaciao sans jamais pour autant avoir le moindre contact avec la presse écrite.
En 2007, la télévision sous la forme de LCP Assemblée Nationale me contactait au travers de Slovar les Nouvelles pour participer à une nouvelle émission introduisant des citoyens pouvant interpeller les élus de la nation. 23 émissions plus tard, c'est toujours un plaisir d'entendre le journaliste animateur de l'émission me présenter comme blogueur et de citer "Slovar les Nouvelles"
Alors, ce matin lorsque j'ai reçu un mail du journal Vendredi (dont j'entendais la publicité à la radio depuis quelques jours) me disant qu'un de mes articles avait été retenu pour le numéro 1, j'avoue que je l'ai relu trois fois. Et , bien entendu, je suis allé l'acheter. Hé, les mecs, je suis dedans sans rien avoir demandé !!!
Vendredi, c'est qui, c'est quoi ?
Internet change la façon de produire et consommer l’information. Le référendum de 2005 sur la constitution européenne a sans doute été l’événement qui a généré une prise de conscience collective de ce changement. Aujourd’hui, le public ne s’y trompe pas, l’audience des sites d’information et des blogs se développe rapidement et ce sont plus de la moitié des français qui s’informent régulièrement sur internet.
Vendredi est le premier hebdomadaire d’actualité issu de cette nouvelle époque où la Toile s’impose comme une véritable source foisonnante d’information et de débats d’idées.
Vendredi fouillera parmi les 60 000 sources du Web (donnée Wikipedia), énorme masse d’informations, d’articles, de blogs pour publier les informations les plus pertinentes… et impertinentes.
Car l’info sur le Net est différente, plus irrévérencieuse, avec un ton souvent plus libre. Des idées, des débats, des polémiques mais aussi de l’économie et l’actualité des médias et de la technologie. Des dessins aussi. Et bien sûr un peu de détente avec les blagues qui circulent sur la toile. Encore faut-il trouver, évaluer, et sélectionner à bon escient toutes ces informations disponibles, identifier les bonnes sources, repérer les points de vue les plus décalés, vérifier les infos, éviter les faux scoops. Tout semble accessible sur Internet, mais au prix de combien d’heures de recherche quotidienne derrière un écran ? De quel effort de lecture, d’évaluation et de sélection ?
Parce qu’il puise dans cette source d’information nouvelle, Vendredi proposera chaque semaine un nouveau regard sur l’actualité. Plus libre, plus indépendant, plus tranchant.
Cet engagement et ce positionnement du titre seront renforcés par l’équipe de rédaction, dirigée par Jacques Rosselin (fondateur de Courrier International), Philippe Cohen (associé à la création de Marianne et Philippe Labarde (ancien de La Tribune et du Monde).
Vendredi est tout sauf un journal de "synthèse objective" du Net. Il débusque chaque semaine les idées nouvelles et les points de vue originaux ou décalés qui s’expriment sur le réseau. Pour proposer un hebdomadaire d’actualité différent. Avec huit vraies pages… en vrai papier !
Vendredi est sans aucun doute la première d’un ensemble d’initiatives qui marqueront le retour du papier en complément d’Internet, dans un univers des médias parfois résigné face au développement du tout électronique.
Le plus sympa c'est d'avoir retrouvé des "collègues" d'Agoravox ou des blogs que l'on visite régulièrement. Et si ces gens avaient tout simplement réconcilié les deux mondes ?
Au fait, ce n'est pas parce que ces gens ont un site Web gratuit qu'il ne faut pas acheter le journal "papier" qui lui est payant, sinon la sanction sera immédiate : Pas de fric plus de journal. A vous de voir.
Vendredi
http://www.vendredi.info
Pour les esprits chagrins, je tiens à ajouter que les articles retenus et publiés ne nous rapportent rien. Qu'on se le dise ...
Internet change la façon de produire et consommer l’information. Le référendum de 2005 sur la constitution européenne a sans doute été l’événement qui a généré une prise de conscience collective de ce changement. Aujourd’hui, le public ne s’y trompe pas, l’audience des sites d’information et des blogs se développe rapidement et ce sont plus de la moitié des français qui s’informent régulièrement sur internet.
Vendredi est le premier hebdomadaire d’actualité issu de cette nouvelle époque où la Toile s’impose comme une véritable source foisonnante d’information et de débats d’idées.
Vendredi fouillera parmi les 60 000 sources du Web (donnée Wikipedia), énorme masse d’informations, d’articles, de blogs pour publier les informations les plus pertinentes… et impertinentes.
Car l’info sur le Net est différente, plus irrévérencieuse, avec un ton souvent plus libre. Des idées, des débats, des polémiques mais aussi de l’économie et l’actualité des médias et de la technologie. Des dessins aussi. Et bien sûr un peu de détente avec les blagues qui circulent sur la toile. Encore faut-il trouver, évaluer, et sélectionner à bon escient toutes ces informations disponibles, identifier les bonnes sources, repérer les points de vue les plus décalés, vérifier les infos, éviter les faux scoops. Tout semble accessible sur Internet, mais au prix de combien d’heures de recherche quotidienne derrière un écran ? De quel effort de lecture, d’évaluation et de sélection ?
Parce qu’il puise dans cette source d’information nouvelle, Vendredi proposera chaque semaine un nouveau regard sur l’actualité. Plus libre, plus indépendant, plus tranchant.
Cet engagement et ce positionnement du titre seront renforcés par l’équipe de rédaction, dirigée par Jacques Rosselin (fondateur de Courrier International), Philippe Cohen (associé à la création de Marianne et Philippe Labarde (ancien de La Tribune et du Monde).
Vendredi est tout sauf un journal de "synthèse objective" du Net. Il débusque chaque semaine les idées nouvelles et les points de vue originaux ou décalés qui s’expriment sur le réseau. Pour proposer un hebdomadaire d’actualité différent. Avec huit vraies pages… en vrai papier !
Vendredi est sans aucun doute la première d’un ensemble d’initiatives qui marqueront le retour du papier en complément d’Internet, dans un univers des médias parfois résigné face au développement du tout électronique.
Le plus sympa c'est d'avoir retrouvé des "collègues" d'Agoravox ou des blogs que l'on visite régulièrement. Et si ces gens avaient tout simplement réconcilié les deux mondes ?
Au fait, ce n'est pas parce que ces gens ont un site Web gratuit qu'il ne faut pas acheter le journal "papier" qui lui est payant, sinon la sanction sera immédiate : Pas de fric plus de journal. A vous de voir.
Vendredi
http://www.vendredi.info
Pour les esprits chagrins, je tiens à ajouter que les articles retenus et publiés ne nous rapportent rien. Qu'on se le dise ...