21 décembre 2007

Joyeux Noël

La cavalcade dans les magasins a commencé !!!

Plus que quelques jours et pour beaucoup, un manque cruel d'idées. Slovar et TropicalBoy vous proposent une idée géniale de cadeaux qui devrait ravir petits et grands. Ces articles sont "Sarkoland certified"
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Bon Noël à tous

Et n'oubliez pas de composer le 155 qui est le numéro du SAMU Social au cas où vous découvririez un SDF en danger.

Site Web du SAMU Social

20 décembre 2007

Marché de dupes

Devant les congratulations de la presse économique et des organisations d'entrepreneurs, il était important d'obtenir la réaction d'un socialiste sur le démantèlement des 35H00. Dans la mesure où on mesure un peu plus le manque de réaction de la direction du PS, je tiens à remercier Gérard FILOCHE de m'avoir transmis sa réaction.

Sans les 35 h les salaires baisseraient...

Et à Continental, contrairement à ce que toute la presse, écrit, les 35 h ne peuvent légalement pas être remises en cause ! La loi est la loi pour tous, y compris à Continental ! Ce que fait Continental c’est de baisser le salaire horaire de 3 % environ pour neutraliser le coût des heures supplémentaires entre 35 et 40 h.

Tout le monde est aux 35 h dans le salariat. Elles sont générales. C’est une loi d’ordre public social. Il n’y a pas un salarié de ce pays qui ne dépend pas des 35 h. Elles se calculent hebdomadairement. Et leur équivalent mensuel est 151 h 66 et leur équivalent annuel est 1607 h (depuis que 7 heures de travail taxées ont été rajoutées).
Les 35 h ce n’est que la durée légale, pas la durée effective du travail.
C’est le point de repère de calcul des salaires et des heures supplémentaires.
La durée légale de 35 h déclenche le seuil des heures supplémentaires.
La durée légale de 35 h déclenche le seuil du temps partiel.
Le Smic est calculé sur les 35 h et sur 151 h 66 ainsi que tous les salaires mensualisés et les grilles des salaires conventionnels.

La remise en cause des 35 h aurait pour effet de faire disparaître les heures supplémentaires donc de diminuer les majorations de salaires qui leur sont liées. (Il existe différentes majorations : financières à 25 %, à 50 %, à 100 %, et avec repos compensateur à 25 %, à 50 %, à 100 %. Chaque majoration correspond à un seuil, 35 h, 44 h, au contingent annuel, ou une circonstance, dimanche, nuit, etc.)

L’entreprise Continental contrairement à ce qu’écrit à tort toute la presse, ne peut revenir sur les 35 h et “passer aux 40 h”. C’est impossible, les patrons qui présentent les choses ainsi et les journaux mentent. Car la loi est la loi : les 35 h s’appliquent aussi à Continental !

Cela veut dire, que, même après avoir fait voter leurs salariés pour travailler 40 h, les bulletins de paie doivent continuer de faire figurer le salaire brut affecté aux 151 h 66 et sur une ligne distincte, les heures supplémentaires majorées de 25 % entre 35 et 40 h. Ces dernières sont forcément majorées de 25 % car c’est la loi... Toute autre bulletin de paie serait illégal !

Alors que se passe t il ? Pour ne pas payer les majorations, l’employeur va baisser le taux horaire de toutes les heures de façon à amortir les 40 h ! Donc la vraie information que devraient donner la presse sur Continental ce n’est pas que les 35 h sont remises en cause mais que le taux horaire est baissé de façon à ne pas payer la majoration des heures supplémentaires entre 35 et 40 h ...

C’est fantastique que dans ce pays, on soit si mal informé, ou plutôt qu’on soit désinformé à ce point ! Il s’agit d’un cas délibéré de baisse du salaire et de baisse du taux des heures supplémentaires (d’environ 3 %) , pas d’un cas de remise en cause des 35 h !

On peut défendre les 35 h et hausser les salaires, les caisses ne sont pas vides !

Grâce aux 35 h contrairement à tout ce qui est dit, en l’an 2000, non seulement il y a eu entre 350 000 et 450 000 emplois crées (la fourchette est large mais reconnue par tous) mais il y a eu aussi une augmentation de la masse salariale globale. Pas des salaires nominaux, et cela a manqué ! Mais le “gel” des salaires n’a été le fait que de 2 à 3% des accords signés à l’époque (1998-2002), on ne peut l’imputer à la réduction de la durée du travail encore moins à l’acceptation des syndicats. Cela a été le fait de la “guerre contre les 35 h” déclarée par le Medef : c’est encore le patronat qui a fait du chantage aux salaires de 2002 à aujourd’hui alors que ses profits se sont envolés ! (Les entreprises du CAC 40 ont gagné 57 milliards de profits en 2003, 66 milliards en 2004, 87 milliards en 2005, 100 Milliards en 2006 et sans doue davantage en 2007).

Que l’on ne nous dise pas que les caisses sont vides, la “cagnotte privée” n’a jamais été aussi pleine, les 500 familles françaises les plus riches ont gagné 80 milliards d’euros de plus en 2006 qu’en 2005, c’est là qu’il faut prendre l’argent, imposez les sociétés et les grandes fortunes, faire payer les 500 familles, il y a de l’argent pour les salaires a reverser !

La remise en cause des 35 h annoncée par le cafouillage des mesures gouvernementales sur les heures supplémentaires, les Rtt, les comptes épargne-temps, l’intéressement, la participation, devient ridicule. Il ne résoudra pas le problème de l’écart croissant entre les prix et les salaires. Il ne résoudra pas l’exigence grandissante d’une meilleure répartition des richesses produites par les salariés.

Il fallait augmenter le Smic, il fallait aligner par la loi les minima conventionnels sur le Smic, il faut rendre les heures supplémentaires plus coûteuses que l’embauche à 50 % dés la première heure, il faut baisser le contingent annuel d’heures supplémentaires de façon à faire jouer la majoration à 100 % des heures qu’il engendre lorsqu’il est dépassé, il faut provoquer les embauches, et faire reculer le chômage de masse, remplacer les partants en retraite, il faut limiter la durée maxima du travail de 48 h à 44 h, imposer les deux jours de repos consécutifs hebdomadaires pour tous, il faut pousser aux négociations annuelles obligatoires, afin de pousser à la fois à l’embauche et aux hausses de salaires.

Là serait la bonne politique gouvernementale pour commencer un rattrapage des salaires puisque 160 milliards d’euros sont, hélas, passés des mains des salariés aux mains des actionnaires.

Il faut baisser le coût du capital (pressions, négociations,contrainte, impôts progressifs, directs) et hausser le coût du travail (pression, négociations, baisse des impôts indirects, hausse du Smic, et des salaires de la fonction publique).

Gérard Filoche, mercredi 19 décembre 2007
Démocratie et Socialisme

19 décembre 2007

Code du travail : Les ennuis et .. la lutte commencent !!!

Le sénat vient de voter en deuxième lecture les modifications au code du travail. Il va falloir être attentif et combatif désormais.

Extrait du site Web du Sénat

Objet du texte : Ce projet de loi tend à permettre la ratification de la partie législative du nouveau code du travail, annexée à l'ordonnance n° 2007-329 du 12 mars 2007, publiée au Journal officiel le 13 mars. Ce projet de loi a pour objet de procéder à la ratification de cette ordonnance, ce qui aura pour effet de lui conférer une valeur législative, les ordonnances non ratifiées ayant une simple valeur réglementaire. Cette recodification, à droit constant, a pour but de rendre le droit du travail plus lisible et cohérent.

* Texte n° 129 (2007-2008) transmis au Sénat le 12 décembre 2007
* Examen du rapport (12 Décembre 2007)
* Rapport n° 130 (2007-2008) de Mme Catherine PROCACCIA, fait au nom de la commission des affaires sociales, déposé le 12 décembre 2007
* Amendements déposés sur ce texte
* Discussion en séance publique le 19 décembre 2007
* Petite loi

Sources officielles
Le Sénat

Crédit et copyright image
FAUJOUR

La vraie vidéo des fiancés de DisneyLand

On a dit et montré beaucoup de bétises ou d'aproximations sur la visite de notre président aux côtés d'un Top model au royeume Disney.

Après une investigation sérieuse, les journalistes de Slovar sont en mesure de vous offrir la vraie vidéo des activités de Nicolas S et Carla B lors de leur passage au pays de MICKEY


Merci qui ?

18 décembre 2007

Jeu de Noël : Qui a dit ?


"La France dont je rêve est une France qui ne laisse tomber personne, une France qui est comme une famille où le plus faible, le plus vulnérable, le plus fragile a le droit à autant d'amour, autant de respect, autant d'attention que le plus fort"

Non, ce n'est pas Jean JAURES ou Guy Môquet. c'est ...
Nicolas SARKOZY le 22/04/2007

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MAESTER

Les socialistes et le marché


Résumé de l’intervention de Gérard Filoche le samedi 15 décembre, La Villette au 2° forum de la Rénovation

"Je réfléchissais en entendant le début de ce forum, aux trois grandes conventions de notre parti, en 1996, celles où nous votions, et j’essayais de comprendre le chemin parcouru en dix ans. Tous les intervenants, avant moi, ont parlé des rapports entre la puissance publique et le marché. Il a 12 ans, ici, à la Villette, nous avions voté pour mettre en oeuvre un nouveau contrôle sur les licenciements.

Nous l’avions voté aussi aux congrès de Brest et de Grenoble, y compris à une convention entreprise de 1998. C’était un bon exemple de volonté de la puissance publique de s’imposer au marché. Nous ne l’avons malheureusement pas fait. Un camarade important de notre parti m’avait dit : « Ce serait mettre en place une économie administrée ».

J’avais réfléchi à cela. J’avais failli lui répondre qu’un tel contrôle sur les licenciements avait existé en France entre 1975 et 1986 et que nous n’avions pas vécu pour autant sous une économie « administrée ». Il m’avait dit : « Gérard, tu comprends, si on fait cela, les salariés viendront manifester sous nos fenêtres contre les licenciements alors que ce n’est pas nous qui licencions, mais les patrons ». L’argument avait sa valeur. Mais les salariés venaient de toute façon manifester quand même sous nos fenêtres, pour nous demander d’intervenir contre les licenciements abusifs des patrons. Ils s’adressaient à juste titre à la puissance publique, car à quoi sert-elle si elle ne peut empêcher des licenciements abusifs, par exemple, de type boursier, dans des entreprises qui fonctionnent et qui font des profits ?

Par exemple Hawlett-Packard. Tout cela pour que des actionnaires gagnent égoïstement 2 ou 3 % de profits supplémentaires au détriment de l’intérêt général, de celui des fonds publics dont ils ont bénéficié, de celui des salariés qui se sont sacrifiés…

Mais je pensais lui répondre mieux encore : car je comprenais bien qu’il voulait repousser le spectre ancien et connu d’une économie bureaucratique étouffante, mais pour autant il ne faut pas perdre de vue que toute économie est administrée, le capitalisme est lui-même très administré, les multinationales sont dirigées par des « conseils d’administration », la Banque centrale européenne est aussi une lourde et bureaucratique administration, Bercy aussi « administre » de façon bureaucratique, etc.

Sarkozy n’hésite pas à administrer l’économie dans le détail, il se mêle de Sanofi-Aventis, ou du détail des heures supplémentaires, de la façon de les payer, et maintenant de la date et de la manière dont les entreprises doivent payer l’intéressement et la participation en avance, il se mêle même de la façon dont doivent être payées des primes exceptionnelles de fin d’année, du taux de ces primes, du rachat (volontaire ? sic) des compte épargne temps, des RTT, etc.

Sauf que c’est vrai, ils ont, eux, privatisé l’administration de l’économie, ce n’est pas, plus, pour le compte du public, des salariés, des citoyens, de la démocratie, non, c’est pour le compte des capitaux, des actionnaires, des rentiers…Et ils le dissimulent, ils mentent sur la réalité de leur politique, ils ne cessent de faire des lois, beaucoup de lois très contraignantes qui leur sont hyper favorables économiquement tout en prétendant qu’ils « libèrent » le travail, l’entreprise, etc.

Mme Laurence Parisot, ma favorite en la matière, affirme « la liberté de penser s’arrête là où commence le Code du travail »…. Ce n’est pas rien !

Elle prétend ne plus vouloir de loi, mais elle laisse faire toutes les lois de la droite qui démantèle le droit du travail… Elle ne veut plus de lois, de règle, d’état de droit dans l’entreprise… pour mieux imposer le pouvoir des actionnaires, des employeurs…

Elle appelle cela la « concurrence libre et non faussée », le marché sans république, sans civilisation… Tenez, de quoi s’agit-il ? Il y a un morceau de viande et deux humains, l’un des humains tue l’autre et s’empare du morceau de viande ! Ça c’est la concurrence libre et non faussée…

Puis quand même la civilisation s’avance, progresse, quelques règles sont mises en place, et au lieu de s’entretuer, les deux humains se partage la viande. Mais au début, le plus gros a le plus gros morceau.

Alors on invente encore des règles et des lois, et ils arrivent à se partager la viande moitié-moitié, sans violence.

Et enfin, quand la civilisation progresse encore, règles et lois permettent même de donner plus de viande au plus faible s’il en a le plus besoin… Ça, c’est la sécurité sociale !

Mme Parisot, elle, veut faire machine arrière toute. Elle a dit aussi « la vie, la santé, l’amour sont précaires, pourquoi le travail échapperait-il a cette loi ? ». C’est une forme d’apologie de la barbarie. Car l’histoire de l’humanité depuis l’aube des temps est l’histoire de la lutte contre la précarité. Contre la précarité de la faim, de la soif, du froid, de la souffrance.

Depuis 50 siècles, nous luttons contre la précarité de nos vies ! (et même de nos amours). Nous avons inventé l’agriculture pour lutter contre la précarité de la cueillette, nous avons inventé l’élevage pour lutter contre la précarité de la chasse…

Et voilà cette dame, patronne du Medef tout puissant, celui qui a déclaré la guerre aux 35 h, aux retraites à 60 ans, voilà donc Mme Parisot qui nous dit, là : « 50 siècles d’erreur, tout doit être précaire, vive Cromagnon ! ».

C’est une vraie philosophie à identifier et à affronter. Nous voulons de la protection sociale, de la redistribution des richesses, là ou elle veut de la capitalisation et de l’enrichissement individuels. C’est un clivage profond. C’est un choix de société. Il n’y a pas de « centre » entre ces deux conceptions.

Soit le marché domine la République, foule aux pieds ses règles et ses lois. Soit les lois de la République l’emportent sur le marché. Ou la politique, la démocratie dirigent l’économie. Ou c’est la loi de la jungle.

Mme Parisot mène sa bataille chaque jour, opiniâtrement, elle veut remplacer le droit du licenciement par la « séparabilité », ( elle dit c’est comme un divorce, mais c’est toujours le même qui part avec les meubles).

Elle veut remplacer la subordination (avec contrepartie en droit du travail) par la collaboration (mais on s’aperçoit vite que dans l’entreprise, on n’est pas tous dans le même bateau, quand le patron part avec le bateau et que vous restez arrimés au quai, à l’Anpe).

Elle veut remplacer les retraites par répartition par les retraites par capitalisation ( et ils nous y conduisent insidieusement en nous fixant des objectifs inatteignables comme de cotiser demain 41 ou 42 annuités..).

Elle ne veut plus de durée légale du travail, elle ne repousse pas seulement les 35 h, mais toute durée légale, les 40, les 39, les 35 h.

Elle ne veut plus de Smic, de mensualisation, de contrat à durée indéterminée, de droit du travail… Elle veut des contrats commerciaux de gré à gré, sans droits collectifs…

Sous la pression de Mme Parisot, des caisses noires de l’UIMM, la droite fait adopter en ce moment, aux Assemblées un nouveau code du travail passé à l’acide du libéralisme… Sous couvert d’une prétendue « recodification » à « droits constants », ils vident le Code de sa substance protectrice au détriment de 16 millions de salariés, pourtant c’est un droit intime, un droit essentiel, un droit quotidien, même pour ceux qui ne le connaissent pas, c’est un droit qui contribue à fixer les salaires, les durées du travail, qui s’impose au marché, qui est décisif pour déterminer le coût du travail, les salaires…

Nous ne voulons pas d’une concurrence libre et non faussée, qui exclue le droit du travail. Même au plan international, nous voulons que l’OMC et l’OIT soient deux organismes qui travaillent à parité, qui disposent tous deux des mêmes droits de sanction pour imposer que la droit du travail soit constitutif du droit de la concurrence !

Un droit du travail constitutif du droit de la concurrence ! Dans le monde et chez nous. Et non pas un droit du travail écarté, annihilé, démantelé, soumis aux aléas du marché, aux seules règles de la guerre économique, des règlements boursiers, de la rapacité des financiers.

C’est ce qui nous différencie, nous autres socialistes des capitalistes : nous faisons des lois républicaines qui servent les humains qui produisent les richesses et ne les soumettent pas a la seule exploitation. C’est ainsi qu’avec les socialistes, la gauche, nous sommes passés en 70 ans des 40 h aux 39 h et aux 35 h en démontrant en pratique que c’était un progrès, que c’était réaliste, qu’on pouvait à la fois, dans la vie réelle, en 70 ans, baisser la durée du travail, augmenter la productivité, et augmenter les salaires, partager mieux donc, les richesses produites.

Pourquoi irions nous en arrière comme le veut Mme Parisot, et tous les néo libéraux intégristes au pouvoir ? C’est avec les socialistes qu’on a eu les 40 h, avec les socialistes qu’on a eu les 39 h, les 35 h, avec les socialistes qu’on a eu la retraite à 60 ans, avec les socialistes qu’on a avancé dans le droit du travail et des salariés, abandonner cela serait abandonner notre histoire, notre raison d’être, abandonner les plus beaux de nos combats, notre choix de société, on ne va pas le faire, n’est ce pas ?"


Gérard FILOCHE

3° Forum de la rénovation du Parti socialiste Dimanche 20 janvier à Paris
Refonder les solidarités, lutter contre les inégalités, émanciper les individus. Inscription sur le site de D&S

Consultez, dialoguez sur le site de “Démocratie & Socialisme


17 décembre 2007

Que de scoops pour rien

Nouvelle fiancée par ci, nouvelle fiancée par là !!! La presse ne sait plus dire qui sera la prochaine première dame de France.

Et bien Slovar est en mesure de vous présenter une photo exclusive datant de plusieurs semaines et indiquant que notre Président avait déja remplacé son ex épouse et que les journalistes sont tous des médisants et des voyeurs.

La preuve :
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Merci qui ?

Crédit photomontage
The "great" LOBO

Aujourd'hui, aurait-on le droit d'avoir faim ou froid ?

Christine Boutin, s'était étonnée lors du lancement de la 23e campagne des restos du Coeur. Elle s'était déclarée : "Triste de voir que la précarité et l'exclusion sont installées" chez nous, tout en relevant que 12% de nos concitoyens vivent en dessous du seuil de pauvreté (817 euros par mois) et que beaucoup aient du mal à se nourrir.

"Je suis venue pour vous dire "tenez bon", avait-elle lancé à l'adresse du président des Restos du Coeur, Olivier Berthe, en assurant qu'elle s'efforcerait de "faire en sorte que nos aides soient mieux adaptées".

Un cinquième des personnes qui fréquentent les Restos n'ont pas de logement et 10% sont des travailleurs pauvres, a rappelé M. Berthe.

Martin Hirsch, Haut commissaire aux Solidarités actives, l'ancien ministre PS Michel Charasse et Anne Hidalgo, première adjointe (PS) du maire de Paris, étaient également venus manifester ... leur soutien.

Décidément, au vu des tous derniers événements, on a bien compris que L'abbé Pierre et Coluche vont une fois de plus nous manquer cruellement.

Mais dans la mesure ou notre Président va se détendre chez MICKEY au bras d'une Top model, ça va rendre jaloux tous les autres chefs d'état. Et ça, c'est bon pour l'image de la France !!!

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ECHEVIN