21 juillet 2008

"Ensemble tout est possible" : Suite ... des aventures

Irlande

Des manifestations, réunissant entre 1.400 et 1.800 personnes selon la police, ont accompagné sa venue.

Des opposants au traité de Lisbonne brandissaient des pancartes demandant "Sarkozy, respectez le vote sur Lisbonne. Non c'est non", ou assurant "Le traité de Lisbonne est mort".

Plusieurs manifestants ont même brandi des pancartes affirmant "casse-toi pauvre con Sarkozy", en référence à l'invective lancée par le président français à un visiteur du salon de l'agriculture à Paris en février dernier.


Travailler plus

Le dispositif TEPA plafonne. Les heures supplémentaires défiscalisées ont été utilisées par 54% des entreprises en mars et avril, selon le relevé diffusé lundi par l'ACOSS. C'est la première fois depuis le lancement du dispositif en octobre 2007 que le chiffre n'évolue pas à la hausse d'un mois sur l'autre.

Pour mai, 55% des entreprises ont utilisé les heures supplémentaires défiscalisées, un pourcentage "provisoire" qui pourrait être revu à la baisse dans un mois, ce qui a été le cas pour les chiffres de mars et avril.

En données provisoires, l'Agence centrale des organismes de Sécurité sociale (ACOSS, qui centralise les cotisations sociales) avait précédemment annoncé 59% pour mars -pourcentage revu à la baisse de 4 points en juin dernier- et 55% pour avril ... / ... Ramenée à la durée collective du temps de travail, l'enquête montrait que la progression était faible dans les entreprises dont la durée hebdomadaire est de 35 heures (81,6% des entreprises prises en compte par l'enquête), avec 1,3 heure supplémentaire de plus entre le premier trimestre 2007 et le premier trimestre 2008.

En revanche, cette progression était beaucoup plus forte dans les entreprises qui ne sont pas assujetties aux 35 heures (18,4% des entreprises de l'enquête), avec 8,1 heures supplémentaires de plus.

Mais cette progression se révélait biaisée car, selon la DARES, il apparaissait notamment "que les entreprises déclarant une durée hebdomadaire collective de plus de 35 heures omettaient sur les années récentes de déclarer à l'enquête une partie des heures supplémentaires travaillées".


Ecuries d'Augias (dixit Patrick Devedjian) du Conseil Génaral des Hauts de Seine

La polémique autour des critiques virulentes de Patrick Devedjian contre la gestion passée des Hauts-de-Seine s'est accrue vendredi avec la réplique de Charles Pasqua, qui a sommé l'actuel président du conseil général de s'expliquer devant sa majorité et de reprendre "ses esprits".

Charles Pasqua avait été mis en cause cette semaine en tant qu'ancien patron des Hauts-de-Seine (1988-2004) par Patrick Devedjian (UMP), qui a affirmé vouloir "nettoyer les écuries d'Augias" dans le département où il a succédé à Nicolas Sarkozy en juin 2007.

"Il faut qu'il reprenne ses esprits. Je souhaite pour les Hauts-de-Seine qu'il assume calmement ses fonctions et qu'il explique à sa majorité que ses mots ont dépassé sa pensée. Dans le cas contraire, il vaut mieux qu'il fasse autre chose car la situation va rapidement devenir intenable", a déclaré au Monde le sénateur des Hauts-de-Seine, âgé de 82 ans.

"S'il met en cause la gestion de ces prédécesseurs, cela retombe aussi sur M. Sarkozy, en tant qu'ancien président du département", fait aussi valoir Charles Pasqua, qui accuse M. Devedjian de "nuire aux intérêts du président de la République"


Réforme de la constitution

Nous ne savons pas si la réforme de la constitution sera votée ce soir. Mais compte tenu de la décision du PRG d'apporter ses voix (nous en connaîtrons probablement rapidement le prix) et au renfort de Jack Lang qui décidemment nous surprendra toujours, il y a tout lieu de penser que notre Président va pouvoir continuer à nous expliquer pourquoi et comment nous prenons plaisir à ses réformes.

Au fait, ils sont 39% à être favorables à l'action du président Nicolas Sarkozy, soit une hausse d'un point par rapport au mois précédent, selon un sondage Ipsos pour Le Point. D'après cette étude, 48% sont favorables à l'action du Premier ministre, François Fillon, en recul d'un point. A l'inverse, 57% des Français sont défavorables à l'action de Nicolas Sarkozy (-3) et 43% à celle du Premier ministre (-1) Le sondage a été réalisé les 18 et 19 juillet

Brillant et ne correspondant pas exactement à ce que les media et communicants politiques essayent de nous faire avaler. En réponse, nous attendons avec impatience juin 2009 et Mars 2010 afin de montrer à notre Président et à sa majorité de quelle bois d'urnes nous nous chauffons.

Crédit montage
Sarkoshow

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